1975, Motobécane 125
LT1
Ma première vrai "moto"
avec le plaisir de la mécanique qui va avec...
Sa fiabilité était "correcte"
pour l'époque, je l'avais acheté d'occasion.
Environ 55 000 km et un haut-moteur
refait à neuf.
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1977, Yamaha 350 RD
Achetée neuve en promo (modèle
1976).
Modifications :
- déblocage de la sixième,
- PSB moins 1 dent,
- amortisseurs AR Koni,
- carénage et bracelets,
- porte-bagages (vacances en duo + tente),
- optique Cibié H4 (le top de l'époque...).
Environ 50 000 km effectué avec
1 réalésage.
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1982, Yamaha 4LO
Mon premier vrai coup de coeur, commandée
en février 82, après avoir vu une "photo flou"
dans Moto Journal annonçant sa sortie pour Avril.
Beaucoup de "petits défauts"
(carburation, pots qui se fendent ...) tous pris en garantie
et très vite oubliés...
Une machine sublime, poids plume, des
accélérations canons (quand on arrivait à
maintenir la roue AV au sol...).
46 000 km effectué avant une
casse du roulement de volant magnétique.
Vendue la mort dans l'âme en
1989.
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1989-1991 :
sans moto, mon premier "Sevrage" |
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1991, Suzuki 600 DR, la poisse...
Achetée par raison pour aller
au boulot.
Environ 12 000 km sans sousis.
Puis un gros carton, 3 mois d'hôpital
et de maison de rééducation.
Je décide d'arrêter de
rouler sur "route", début de ma période
Moto Verte.
Modifications :
- allègement général (suppression de la
batterie, partie AR du cadre, clignos, phare, etc...),
- réservoir de XR 350,
- poids avec les pleins 136 kg,
- transmission secondaire pour grimper aux arbres (je faisais
presque jeu égale avec les 600 XR),
- Pneus Michelin enduro,
- Lecteur de roadbook maison éclairée (boîte
Plexo...).
2 ans et 6 000 km de TT sur diverses
randos et balades avec les potes...jusqu'au jour où...
Méchante gamelle et 1 mois 1/2 d'hosto + 2 mois en maison
de rééducation et env. 2 mois en externe. Depuis
cette époque j'aime bien le vélo.
Mais les souvenirs sont là...dans
la tête...
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Octobre 1992-2002
: de nouveau sans mot, mon deuxième "Sevrage"
que je pensais définitif... |
5 Avril 2002, la "Rechute"
DUCATI ST2
Mai 2000, mon fils décide après
son BEP auto de faire un BacPro moto et me pousse (pas fort d'ailleurs...)
à "l'insu de mon plein gré" à
m'intéresser de nouveau à ces choses avec 2 roues
et un moteur...et par une belle journée de Décembre
2001 le déclic, je vis de la lumière dans un Ducati
Store, et je suis entré par curiosité...
Le temps de préparer tranquillement
"Ma...Dame", le 5 Avril 2002 je signais chez Ducati
Paris pour une ST2 Jaune, que j'accueillais le 29 Avril.
Depuis ce jour d'Avril, j'ai parcouru
plus de
60 000 km , dont une grande partie en duo.
Une excellente moto, au caractère docile....pour une DUCATI.
Et pour peu que l'on mécanique soi-même elle est
très "économique".
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Septembre 2004,
la "Passion plus forte que la raison"
HONDA Revere
Bossant à 80 km de mon domicile
avec pas mal de bouchon de la GVQP (*), je décide de rechercher
un 2Roues utilitaire.
Sur ce...mon fils travaillant dans une "casse" moto
me propose une Honda Revere.
Cette machine correspondant parfaitement à un usage journalier
intensif, je l'adopte...
Bien sûr, je conserve ma DUCATI ST2 pour
les ballades et les voyages.
(*) Grande Ville Qui Pue |
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Août 2005
la "Passion plus forte que la raison"
888
Strada
- L'idée de posséder et
surtout de chevaucher une SuperBike DUCATI me taraudait depuis
bien un bon moment.
Et suite à mon apprentissage concluant de l'entretien
des mécaniques Desmodromiques 2 et 4 soupapes, j'ai commencé
à lire les petites annonces sur
site bien connu des Ducatistes.
- Fin juillet 2005, je tombe sur une
PA d'une 888 Strada affichant 69000 km !!! mais le prix est raisonnable
et correspond à mon budget. Elle est du côté
de Bressuire (79).
Ni une, ni deux, me voilà parti avec ma ST2 voir la Belle...Sur
place, mes neurones ayant disjonctés après un essai
sur route, l'affaire fut faites.
- Début Août 2005, elle
était à la maison.
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- Aujourd'hui
j'ai réalisé le rêve de beaucoup de motards,
possédé plusieurs machines d'usage et de caractères
différents.
- Tout ceci a été possible
grâce a l'aide et à la tendre compréhension
de mon épouse.
Sans oublier la passion que mon aîné porte à
la moto et dont il a fait son métier. Son aide me permet
d'entretenir ces machines à un coût...disons...raisonnable.
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